Quatrième de couverture :

Le président est mort, vive le président ! Mais le remplaçant est-il celui que l'on attend ? Un extrémiste au pouvoir, c'est le meilleur moyen de voir, çà et là, des révoltes. Et dans cette guerre civile, des gens perdus, poussés là par hasard plus que par conviction, qui vont tenter de sauver leur peau et, qui sait, de ramener un semblant de démocratie...

Il y a là dedans du souffle et une facilité certaines pour les dialogues ainsi qu’une tendresse réelle pour les petites gens. Le travail de relecture en ce qui concerne le style et les éventuelles redites est à saluer. Les idées sont plus que généreuses et l’analyse des mécanismes qui transforment de paisibles citoyens en tueurs impitoyables sonne juste – je pense au chapitre XVIII, si je ne me trompe pas. La présentation du rôle tenu par les USA dans notre monde depuis la Seconde guerre mondiale me paraît un peu simpliste mais n’est pas cependant infondée.

Un roman futuriste par l'auteur de "Photo-Finish."

Nota Bene: je précise, pour les mauvais esprits et les mauvaises langues, que, bien que reprenant une affiche de propagande nazie comme couverture, "Rudeval" ne fait en rien l'apologie du nazisme ou du totalitarisme. Bien au contraire ! Qu'on se le dise ! Merci.

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Ou sur le site de l'Auteur.