Chers amis lectrices et lecteurs, les membres fondateurs d'Alexandrie, les membres du Comité de lecture d'Alexandrie et les membres du site en général sont heureux de vous annoncer le palmarès pour l'année 2008 :

Pour sa troisième et dernière édition sous sa forme actuelle, les membres du site d'Alexandrie Online viennent de décerner quatre prix littéraires couronnant les ouvrages de la bibliothèque ayant eu le plus de succès dans les catégories Roman, Nouvelle et Essai durant l'année écoulée. Ils couronnent les ouvrages de la bibliothèque d'Alexandrie, publiésentre le 1er novembre 2006 et le 1er novembre 2007.

Suite à la présélection des 21 ouvrages en lice considérés comme incontournables par le Comité de Lecture, un vote des lecteurs - à la majorité - a permis de distinguer trois d'entre eux. Par ailleurs, un Prix Spécial du Jury a aussi été décerné - à l'unanimité - par les membres du Jury.

Le Prix du Roman a été décerné à Vanessa du Frat pour « Les Enfants de l'Ô ». Ce roman se passe sur la planète Lambda, en 2572, où une étrange jeune femme est découverte dans une forêt, à des centaines de kilomètres de toute civilisation. Elle donne naissance à deux enfants hors du commun, et se retrouve au coeur d'un complot qui ne tarde pas à prendre des proportions incontrôlables...

Le Prix de l'Essai a été décerné à Janik Pilet pour « Dieu ou La Pierre philosophale du physicien ». Cet essai est l'exposé de la vision du monde que peut avoir un scientifique confirmé, au-delà du strict domaine réservé aux sciences exactes. L'examen du problème de la conscience en particulier le conduit à proposer une vision personnelle et originale de la spiritualité, compatible avec les connaissances actuelles et en résonance avec les sagesses les plus anciennes.

Le Prix de la Nouvelle a été décerné à Jean-Luc Flines pour « Haru Asakaïdo et le silence inaltérable du blanc de céruse ». Cette nouvelle atypique vous fera voyager et découvrir un Japon insolite du 19e siècle, non pas celui des samouraïs mais plutôt l'univers des peintres d'aquarelles et d'estampes au travers du drame de la jeune artiste Gofun Shiryuki atteinte de saturnisme, maladie liée à son art. C'est le récit d'une amitié un peu surnaturelle qui sublimera un autre peintre, femme elle aussi, Haru Asakaïdo !

Le Prix Spécial du Jury a été décerné à Mathieu Goux pour son roman « Rosa Rosarum ». Ce roman pose les bases d'une question existentielle : une malédiction est-elle génétiquement transmissible ? Tout porte à le croire : lorsqu’un honnête garçon croise la route d’une mystérieuse rose perdue au milieu de nulle part, il lui semble développer un mal inconnu qui, petit à petit, le détruit. Hallucinations, doutes, il s’écarte, de déception en déception, de tout ce qui faisait jadis sa joie de vivre.