Le Blog de Pierre-Alain GASSE

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jeudi 5 janvier 2017

Statistiques 2016


En 2016, les trois sites "Nouvelles, nouvelles...", ce blog et "La Bitácora" celui en espagnol, ont enregistré 1972 visites et le nombre de pages vues atteint 3534, en progression de 32 et 10,7 % respectivement par rapport à l'année précédente.

Inexplicablement, le blog en espagnol a connu, l'an passé, une très importante désaffection (-70 %).

Le classement des dix nouvelles les plus lues l'an passé est le suivant :

  1. Le Voyage de Clémentine 270 hits
  2. Bénédicte et les Adorateurs de Priape 183
  3. Au fond du trou 96
  4. Le Bracelet damasquiné 82
  5. Monsieur Faber et moi 72
  6. Le Testament 62
  7. Retour perdant (Dora) 57
  8. La Petite Culotte de soie 55
  9. Aperçu du IIIe millénaire 48
  10. Bonne nouvelle ! 46

représentant 51,7 % du total (971/1878). Deux entrées nouvelles dans ce hit-parade : "Le Bracelet damasquiné" et "Aperçu du IIIe millénaire"

Le "Top Ten" des pays d'origine des lecteurs est le suivant :

  1. France 47,8 %
  2. USA 8,9 %
  3. Algérie 4,6 %
  4. Canada 4,5 %
  5. Maroc 3,6 %
  6. Belgique 3,5 %
  7. Russie 3 %
  8. Brésil 2,8 %
  9. Ukraine 2,4 %
  10. Mexique 2 %

Reste du monde : 17 %
. 76 pays au total.

En ce qui concerne les apporteurs de trafic, le palmarès est le suivant :

  1. 1000nouvelles : 399
  2. Educalire : 57
  3. Boostersite 37
  4. 1-Free-share buttons 17
  5. Google Translate 17
  6. Facebook 15
  7. Bonnes Nouvelles : 18
  8. Pierrealaingasse 9
  9. Rémanence, Virages, : 6 chacun

représentant 88,7 % du total.

©Pierre-Alain GASSE, janvier 2017.

samedi 31 décembre 2016

Vœux 2017


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samedi 2 janvier 2016

2016


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Légende, de gauche à droite et de haut en bas : Marina Bay Sands, Singapour - Auberge du Grand Cerf, Aigrefeuille - Phare du Cap Leeuwin, Western Australia, Palau del Vidre, Pyrénées Orientales - Collioure.

À tous et à chacun,
hommes et femmes
d'ici ou d'ailleurs,
jeunes et anciens,
de toutes couleurs
et toutes croyances,
peuple de notre terre,
mes frères,

Bonne Année !

©Pierre-Alain GASSE, 2 janvier 2016.

mardi 15 décembre 2015

Rencontre-dédicace


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Mardi 22 décembre, de 15 h à 18 h, je serai avec "L'Indonésienne" en dédicace au Forum des Champs, à Saint-Brieuc. Qu'on se le dise !

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J'y dédicacerai également, en tant que co-auteur, le livre d'histoire locale, "Pordic et la Grande Guerre", réalisé avec Marcel Turpin.

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©Pierre-Alain GASSE, décembre 2015.

vendredi 27 novembre 2015

ENSEMBLE !


En ce 27 novembre 2015, journée nationale d'hommage aux victimes des attentats parisiens du 13 dernier, bien des mots de solidarité seront prononcés, du fond du cœur le plus généralement, du bout des lèvres parfois. Je n'en retiendrai qu'un seul : ENSEMBLE ! ENSEMBLE autour du premier symbole de la Nation : le drapeau tricolore !

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©Pierre-Alain GASSE, 27 novembre 2015.

mardi 3 novembre 2015

L'arbre à livres


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Sympathique inauguration mercredi dernier à St-Quay-Portrieux (Côtes d'Armor) : l'arbre à livres ou à lire, comme on voudra, du Parc de la Duchesse Anne. Une belle initiative de la nouvelle municipalité, à encourager et multiplier, sur le principe anglo-saxon du cross-booking.

Nous étions une poignée d'auteurs costarmoricains présents et près de deux cents personnes à assister au dévoilement de la fresque de la jeune et talentueuse artiste Anna Kropiowska.

vendredi 5 juin 2015

Une récompense pour "Amours de papier"

Le 9 mai dernier, à Servon sur Vilaine, dynamique commune de la banlieue rennaise, l'Association "Les Ateliers d'Art", présidée Émile Audigier, remettait les prix de son concours, désormais bisannuel.

Dans la catégorie "Recueil de nouvelles", "Amours de papier" se voyait remettre une médaille de bronze, ex aequo avec Paul Vallin (72) pour « Histoire de Bretagne ».

On peut retrouver "Amours de papier" ci-dessous, en version libre broché ou numérique, toutes plateformes. Cliquez sur l'image pour accéder au site de vente en ligne.

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©Pierre-Alain GASSE, juin 2015.

mardi 21 avril 2015

Quelques mots sur "L'Indonésienne"


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L'Indonésienne, roman court ou novella, est une tentative de traitement romanesque d'un phénomène social, connu en France de la seule communauté des expatriés dans le sud-est asiatique : la condition enviée, mais néanmoins misérable, des employées de maison à Singapour.

De la nouvelle, dont elle n'est que la version longue, la « novella » tire son nombre de personnages réduit : ici, la protagoniste et sa famille proche, fille et parents, ses employeurs et leur chauffeur, l'étranger rencontré en fin de roman.

Au roman, elle emprunte la précision des descriptions.

A la nouvelle encore, l'unité de temps, limitée ici à une année de la vie de la protagoniste, mais au roman la multiplicité des lieux de l'action, avec en l'occurrence, une structure circulaire : départ d'Indonésie, séjour à Singapour, retour au pays natal.

Le personnage n'est pas exemplaire. Il n'est qu'un avatar des multiples cas de figure que l'on peut rencontrer parmi ces expatriées volontaires.

Son niveau d'éducation est meilleur que celui de beaucoup d'entre elles. Elle est plus âgée aussi. Divorcée, alors que la plupart n'ont pas encore bâti leur vie sentimentale. Avec une adolescente à charge. Ses préoccupations sont légèrement différentes de celles de ses consœurs. Alors que la plupart n'ambitionnent que de pouvoir faire vivre leur famille, restée au pays, elle, rêve d'une réalisation toute personnelle.

Ceci pour dire que L'Indonésienne n'est pas un reportage ethnographique, mais un vrai roman, avec une intrigue, des rebondissements, un climax et un dénouement.

©Pierre-Alain GASSE, avril 2015.

vendredi 3 avril 2015

Interview à l'auteur de L'Indonésienne


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Q. : Pierre-Alain GASSE, on vous connaît mieux à Pordic et Saint-Brieuc sous votre véritable identité , Bernard VAULÉON, comme professeur et co-auteur d'ouvrages d'histoire locale, mais vous êtes aussi un nouvelliste depuis de longues années et vous publiez ces jours-ci, aux Éditions de la Rémanence, votre premier roman. Vous pouvez nous en parler un peu ?

R. : Volontiers. Je m'étais essayé au roman, au début de ma carrière, d'abord dans les années 80, puis à la fin des années 90, mais sans doute étaient-ils mauvais, toujours est-il qu'aucun éditeur ne m'avait donné sa confiance et j'avais abandonné cette forme au profit de la nouvelle. Il y a cinq ans, une de mes filles a accepté un poste à Singapour et à l'occasion d'un premier séjour là-bas, j'ai découvert la condition et les problèmes des « maids » asiatiques, ces employées de maison étrangères qui travaillent pour les riches locaux et les nombreux expatriés. J'ai d'abord songé à une nouvelle et puis, de chapitre en chapitre, j'en suis arrivé à un roman court, après une gestation qui a duré trois ans. Et Mathilde Palfroy, fondatrice des Éditions de la Rémanence, a tout de suite adhéré à ce projet, qui voit aujourd'hui sa concrétisation.

Q. : Sans dévoiler l'intrigue, que pouvez-vous nous dire de L'Indonésienne ?

R. : Eh bien, Ratih, l'héroïne, une jeune indonésienne divorcée avec une ado à charge, gagne péniblement sa vie dans un « food court » (espace de restauration rapide) de Bandung Pinang, sur l'île de Bintan. Passionnée de cuisine, son rêve, c'est d'avoir un jour un petit restaurant bien à elle. Alors, elle s'engage comme « maid » (employée de maison) chez une famille chinoise de Singapour, pour quelques années, pense-t-elle, le temps de réunir les économies nécessaires. Ses riches patrons sont très exigeants, son travail exténuant, sa vie privée et familiale inexistante. Cependant, elle fait face à toutes ces difficultés, jusqu'à ce qu'un grain de sable vienne changer la donne… Voilà le point de départ.

Q. : Vous vous situez donc dans la lignée du roman social ?

R. : C'est vrai, la dénonciation de l'injustice m'a toujours importé, mais dans le cas présent, c'est à la fois un témoignage, inspiré d'une réalité, et une fiction sentimentale. J'ai d'ailleurs modifié la fin, à la demande de mon éditrice, qui souhaitait présenter une vision des choses d'où l'espoir ne serait pas absent.

Q. : Après cette publication, allez-vous persévérer dans la voie du roman ou revenir à la nouvelle ?

R. : Cela dépendra en partie de l'accueil du public. La nouvelle est mon fonds de commerce. Certes, j'aimerais beaucoup réussir à écrire un roman de trois cents pages, mais cela impose de forcer mon naturel qui me pousse toujours à la concision. Cependant, je remarque que, depuis quelques années, j'ai écrit un certain nombre de nouvelles longues, entre cinquante et cent pages. Alors, pourquoi pas ? Ceci dit, pour l'auteur comme pour son entourage, l'écriture d'un roman est beaucoup plus contraignante. C'est aussi un critère à prendre en compte. Franchement, à ce jour, je ne sais pas, car pour l'instant, je n'ai pas de sujet.

Q. : Pierre-Alain GASSE, merci.

R. : Merci à vous.

©Pierre-Alain GASSE, avril 2015.

jeudi 19 mars 2015

Rencontre avec l'auteur de l'Indonésienne


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