Le « Mal absolu », celui de ma peur absolue, c’est cette « prédation absolue » habillée à ravir, parée de toutes les féminités et si habilement déguisée en gentillesse absolue…

C’est pourquoi, avec autant de ferveur, je cultive une certaine forme de lucidité, car il me paraît essentiel de démystifier la « grande prédation »… afin d’être sûr que cet effleurement absolu de bien être soit réellement celui de la vraie gentillesse…

Mais qu’il est difficile de penser la lucidité qui, par trop tragique, fait perdre la trace du bonheur.

Si j’avais été femme, je me serais défié des « masculinités » habilement déguisées.

Que l’on ne s’y méprenne point : je n’adhère pas à l’idée de « péché originel », ce « creuset » de toutes les invasions barbares passées, présentes et à venir…