C’est en allant au cœur même de ce qui vit à l’intérieur des gens, sans aucune arrière pensée, sans profit pour soi même et sans dessein particulier ; que l’on parvient à démêler l’écheveau… Et peut-être à comprendre. Tant que l’on n’a rien démêlé de tous ces fils enroulés et aussi reliés entre eux qu’ils le sont… Aimer ou haïr, ou tous ces sentiments qui leur sont associés tels que l’estime, la considération et par opposition la méfiance, le dédain ; ainsi que l’idée que l’on se fait des personnes… Tout cela n’a plus de sens.