J’aspire à la venue d’une société en laquelle les gens sont reconnus davantage pour ce qu’ils sont, plutôt que pour ce qu’ils font… Non pas qu’il faille négliger ce que les gens font, parce que c’est utile et paraît-il « pour le bien commun »… Mais ce que les gens sont chacun d’entre eux et qui est UN et unique entre tous, n’a « droit de cité » dans le monde où l’on vit ; que s’il sert, se soumet, se conforme… Et je n’appelle pas cela « Etre »…