Après réflexion je m’excuse presque auprès de mes lecteurs (et lectrices) d’avoir présenté dans mon billet « Ecrire », une vision aussi personnelle de « l’acte d’écrire »… …Bien que certain(e)s d’entre vous je n’en doute point, me rejoignent dans ce que j’exprime ainsi.

J’ai parfaitement conscience de la diversité avec laquelle l’on peut s’exprimer sur « l’acte d’écrire ». Mon propos n’engage que moi.

 Chacun, chacune d’entre vous tous, est un être unique, ne pouvant à mon sens être reconnu et aimé si possible, que tel qu’il est lui ou elle en particulier. Et non pas comme l’être que l’on imaginerait ou décrypterait en fonction de repères, d’émotions ou de valeurs personnelles…

 Que les « atomes » soient « crochus » ou non, ne confondons jamais l’amour avec « l’ennemour ».

« Tu me plais/je te plais », c’est peut-être seulement de « l’ennemour ». Et c’est vrai que « l’ennemour » ressemble bien souvent à s’y méprendre, à l’amour.

L’amour est peut-être plus un regard qu’une inclination du cœur… Ou même de l’esprit. Quoi qu’il y ait, effectivement, du cœur et de l’esprit, dans l’amour…

     Cette « alchimie secrète », qui serait d’une autre école que celle dont on sort avec les diplômes requis, et par laquelle la personne qui écrit, produirait ou tenterait de produire une œuvre ; n’a peut-être pas pour destin, de s’extravertir… Et s’il y a « pirouette d’écolier », c’est peut-être aussi dans un cahier que la maîtresse ne voit jamais.

Et en ce sens, il n’y aurait « nul passage à forcer »…

     Il m’est arrivé en des lieux de recueillement ou de souvenir, de parcourir des pages de « livre d’or »… J’y ai lu des mots très simples mais d’une grande beauté. Sans nom et sans signature. Et, parce que ces écrits là ne « postulent » jamais, l’on est sûr de leur sincérité…