La parole est brute, l’écriture est signe…

Ce qui manque à la parole, c’est de se faire écriture…

Mais l’écriture d’aujourd’hui, telle que l’on la lit parce qu’elle s’est répandue dans la parole, n’a plus le signe…

Il faut que l’écriture retrouve le signe, pour qu’elle puisse tout dire…

Et que la parole l’imite, et perde sa brutalité.