Que ferait un intellectuel (philosophe, poète, écrivain, penseur… ou un biologiste, entomologiste, ou encore un scientifique doté, disons, d’une certaine connaissance associée à un certain regard)… Acculé au pied d’une très haute falaise demi circulaire, ayant en face de lui une sorte d’araignée géante (évidemment carnassière) ?

Et, pour « corser » la situation, imaginons que l’intellectuel en présence de ce monstre carnassier, soit une très belle femme avec un visage absolument ravissant ?

Où est ce pouvoir qui est celui de la beauté, de l’intelligence, de la poésie, de la connaissance, du regard, de la pensée, de la réflexion… En toute situation en laquelle il faudrait « sauver sa peau que l’on ne pourrait sauver » ?

Certes l’on peut oser rêver contre la réalité naturelle et incontournable, d’une autre « réalité » en soi : en l’occurrence de la réalité qu’une « relation » puisse s’établir avec l’araignée géante… Mais… Afin de rendre ce rêve « crédible », je n’ai pour ma part rien trouvé de mieux que d’inventer (en imagination) un monde d’êtres vivants de toutes formes possibles, une « Terre » peuplée d’êtres se nourrissant… de sable, de cailloux, de terre, d’eau et d’air… Mais… Même dans une telle éventualité, « l’Intellectuel » en quelque sorte, serait… Tenez vous bien… la Terre (ou le monde) même, de l’ensemble de ces êtres !