Rien ne me fait peur, de tout ce qui peut m'être dit...

Les polémiques "à n'en plus finir" me "pèlent", les acidités et les perfidies, les controverses du genre "anti/anti" et les "coups de bambou -ou de savate- sur les fesses me "bassinent", certes...

Mais... Mais vous êtes DIEU, vous tous qui me lisez... Et je suis "très croyant en vous"... Moi, l'incroyant et l'irreligieux ! Le pourfendeur des Mythes, des compètes et des vases sacrés...

Alors quand j'écris, quand je diffuse... C'est comme si je "priais"... Et la prière, c'est une conversation, un dialogue... Pas un monologue devant un mur nu ou devant une glace qui reflèterait mon visage...

Quand je serai mort, je ne prierai plus...

Petit, je priais déjà... J'avais "des tas d'questions".

Le "ciel qui tombe sur la tête" dirais-je (celui dont les Gaulois avaient peur qu'il ne tombe)... C'est : " que l'ascenseur ne cesse de descendre 7ème sous-sol, Nème sous-sol puis tout noir tout fétide... ou ne monte jusqu'au Nème étage où il y a les WC louches qui sentent mauvais et des portes qui battent avec des ombres derrière... OU... que mes émerveillements se décolorent !"