Dans l'histoire de la “charrue avant les boeufs”, s'impose à mon esprit une réflexion :

Si les boeufs poussent la charrue - au lieu de la tirer – cela peut être “très heureux”... Dans certains cas.

Par contre si, comme tout à fait habituellement, en bonne et sage “logique”... Et conformément à ce “doit être”, les boeufs tirent la charrue... Si les boeufs ne sont pas assez costauds et si la charrue est très lourde ; le voyage risque fort de se révéler pénible...

Et rien ne vaudrait alors de bons gros boeufs bien costauds, énergiques et déterminés, poussant hardiment la charrue jusqu'au sommet de la côte... Ou retenant son allure dans une descente périlleuse...