Après lecture d'un livre de François Gautheret “Les corps perdus”... Il me vient cette pensée... (dans le livre il y est question de puits dans lesquels sont enfermés des gens...)

... Il y eut une “dernière fois” sans que jamais l'on sût si c'était bien là une “dernière fois”... D'ailleurs l'auteur de cette “dernière fois” ne savait pas lui même que c'était “la dernière fois”...

Alors des pistes se croisèrent au dessus du couvercle de bois qui obturait le puits... Et l'on vit aussi au delà des chemins qui se croisaient, des couvercles de bois sur le sol. Et personne jamais, ou alors comme par un étrange hasard, ne soulevait l'un de ces couvercles de bois...