Trou-du-cul au féminin c'est : “Troune-du-cune”. Ou si l'on veut, orthographié différemment : “Troun' du Cune”...

Quoiqu'il en soit, dans une conception “Yugcibienne” de la Féminité, ce “vocable” est proprement insupportable et ne devrait jamais, au grand jamais être utilisé...

Dans ma vie j'ai connu pour moins des doigts d'une seule main, de ces “troun' du cune” (jeune fille, jeune femme “sans consistance” genre soft, dédaigneuse, consensuelle, “bien dans sa peau/bien de son temps”, indifférente aux “choses profondes de l'esprit et du coeur” et surtout aux développements d'écriture à rallonges)...

J'en ai connu une ou deux, de ces “troune-du-cune” qui avait comme on dit “du bagage”! (Qui avait fait des Etudes Littéraires)...

... Pardonnez moi d'être “aussi dur” mais bon... “ça aussi c'est du Yugcib” (et pas du meilleur)!

... Grâce au ciel elle ne me verra pas vieillir et je n'aurai jamais à toquer à sa porte pas plus qu'elle n'aura à toquer à la mienne!

C'est fou ce que l'on vit très bien en l'absence de gens auprès desquels on vivrait très mal...

En rédigeant cela je me souviens de ma tante Jeanne Dupouy d'Arengosse dans les Landes, qui est morte à l'âge de 94 ans le 6 mai 2005... Nous avions ensemble des conversations sur la féminité, sur des sujets d'actualité, de littérature et de philosophie. Oh combien elle aurait ri de ce que viens de dire au sujet de ces “troun' du cune” ! Elle qui n'aimait pas du tout et qui fustigeait à sa manière bien humoristique (et acide) ce genre de jeune femme ou de jeune fille !