... Suite à "comment traitez vous vos courriels"...


... Il n'empêche que... Je me "mords les doigts", à chaque fois, d'avoir tenté "certaines démarches relationnelles", sans doute sous le coup d'une de ces émotions que je qualifie un peu exagérément de "souveraine", ou, parti d'un "bon sentiment", ou encore par cette inclination que j'ai parfois à écrire "du fond de mes tripes"...

Si effectivement l'émotion était comme je dis "souveraine"... Et si de surcroît je m'étais risqué à écrire "du fond de mes tripes", alors après coup, et avec le recul (c'est à dire le temps écoulé et le silence advenu)... Je n'ai donc qu'à m'en prendre à moi même, et par la suite veiller à ne plus ainsi "trop déployer mes ailes"...

Mais, si le sentiment à l'origine était "bon" (c'est à dire s'il s'était manifesté pour défendre une cause, ou encore pour "passer un doigt comme une lèvre sur une cicatrice de visage)... Alors vient tout de même, lorsque passe le temps et le silence, comme une absence, comme un "exil forcé" sur une terre ou dans un paysage impossible à quitter pour rejoindre une autre terre qui a peut-être tracé autour de son horizon, une frontière...