L'ennemour comme « oeil pour oeil dent pour dent », l'on vit avec et l'on n'en crève pas... Parce que, pour l'un comme pour l'autre, c'est « oeil pour oeil dent pour dent » en toute réciprocité...

L'ennemour comme « oeil pour oeil dent pour dent » mais dans un seul sens, l'on vit avec, également... Mais il y en a un qui en crève... Ou qui survit par l'amour qu'il porte par ailleurs, ou par le paysage qu'il s'est ouvert à la place du paysage qu'il a perdu en subissant l'ennemour de l'autre auquel il ne pouvait répondre que par l'amour...

C'est une grande tragédie... Parfois de toute une vie, que ces histoires d'ennemour à sens unique lorsque dans l'autre sens, il y a l'amour...