Je cultive dans ma mémoire Yugcibienne, tous ces jours heureux qui depuis mon enfance ont enchanté ma vie et m’ont ouvert de nouveaux visages…
 Et je ne cherche pas la « Citadelle », ce lieu si commun où se croisent tant d’êtres de ce monde, et en lequel paraît-il selon ce qui est cru, vu et ressenti de tous ; l’on y trouve ses marques, ses repères, sa vie… Ce lieu si commun où se consument les égoïsmes, les aspirations, les désirs d’amour, d’argent, de notoriété et de reconnaissance…
Je ne cherche donc pas la « Citadelle », je cherche des visages…
 Et les visages qui me cherchent ou me connaissent pour ce qu’ils trouvent en moi et les rend heureux ; ces visages -là, je ne vais pas leur claquer la porte au nez parce qu’ils ont une belle maison, une grosse voiture, un « statut social », qu’ils votent à droite, qu’ils se rendent le dimanche à la messe… Ou qu’ils seraient, aux dires de certains, des parias, des « imbuvables » ou des « ours ».
Ces visages- là, qui me cherchent ou me connaissent pour ces « essences » de moi qu’ils aiment tant respirer ; de quelque univers qu’ils viennent, me sont toujours « cadeaux du ciel ».
 Je ne sais pas si cela est « très à la mode » aujourd’hui, mais j’ai la particularité de demeurer fidèle à mes amitiés.
J’admets l’existence (que je conçois d’ailleurs) de ces « continuums d’espace sidéral » qui rendent distincts, séparés ou opposés, les différents univers en lesquels je « voyage »… Et qui sont autant « d’histoires d’amour » (histoires dont le « cancer absolu » s’il survient, s’appelle « fracture relationnelle »). J’ai déjà dit sur mon blog et sur mon site, ou sur quelque forum, ce que je pensais, ce que je ressentais au vrai, d’une « fracture relationnelle »…
Etant d’une indépendance d’esprit quasi absolue, je ne m’en réfère qu’à mon seul regard sur le monde et sur les gens (regard qui d’ailleurs peut évoluer, à dire vrai s’affiner).