« Le monde est le monde »… La mort est la mort… Mais cela n’est peut-être pas une fatalité.

 La fatalité n’existe que dans le sens où l’on pense, où l’on vit, où l’on subit et où l’on n’espère que ce qui nous semble espérable, sachant que dans l’inespérable il y a fatalement l’impossibilité qu’un évènement dont on rêve puisse se produire…

 Dans ce que nous ne savons pas encore, réside l’inconnu.

Par ce que nous croyons savoir, nous avons donné une forme à l’inconnu : alors la fatalité est devenue dans l’inconnu auquel nous avons donné une forme, comme un mur transparent et traversable…

 Et dans l’inconnu où nous ne savons rien encore, peut-on penser qu’il n’y a plus aucun mur, même transparent et traversable ?