1/ J'aime à ressentir, dans le relationnel, ce que l'autre ressent, surtout si cet « autre » est une femme.

2/ L'enveloppe (transparente) de ma « bulle » m'est comme un mur contre lequel je frappe, espérant la « fissure ».

3/ Certains de mes émerveillements dans la dimension en laquelle ils s'épanouissent, explosent, se perpétuent et se renouvellent, me font tant aimer être moi, que j'en remercie le ciel d'être venu au monde et de les avoir ainsi connus à ce point là.

4/ J'éprouve une très grande joie, une très grande émotion, et une espérance magnifique, quasi « orgasmique », à verser mon visage sans lunettes de soleil et sans casquette, mon regard et mon sourire, dans les yeux des gens, et en particulier les yeux des femmes.

5/ J'ose imaginer que je « fais l'amour » aux filles, aux femmes, et, par extension à mes amis, avec mon écriture (celle qui n'est pas un « foutoir » de rébellion et de missiles incontrôlés). Mais alors, mon écriture, je la veux sans cesse plus belle, plus décrassante, plus « orgasmique ».

6/ Je suis heureux d'être né homme en aimant les femmes de la manière dont je les aime : je me sens tellement bien, dans cette manière que j'ai, de les aimer.

7/ Je ne veux pas dans ma vie, de certitudes autres que celles de l'instant heureux vécu, profondément ressenties... et bues avec délices jusqu'à la dernière goutte. Je ne veux que de l'espérance à m'en tordre le coeur et l'esprit, d'émoi et de régal...