En règle générale je n'accorde guère d'importance à la rentrée littéraire... Ce serait comme si je "m'en foutais complètement"...

La seule chose, à la rigueur (à la raideur, dirais-je)... qui me "percuterait"... Serait la présence de quelques unes de ces femmes très bien habillées, aux jolis visages, que l'on voit dans les salons et dans les manifestations littéraires, et qui ne ressemblent pas, comme d'autres, à des personnages de carnaval...

La littérature et le « chic féminin », vont très bien ensemble.

Mais l'on voit surtout dans les salons, dans les cocktails et dans les réceptions de « haute volée » (voire plus modestes)... D'impossibles "perruches" harnachées de crêtes et de plumages, et de non moins impossibles "coquelets" au bec odorant et aux ergots bien acérés... Et perruches et coquelets se pavanent en éclats d'autobiographie orale, et en "me semble-t-il" toutes les quatre phrases...

... Ma "raideur", alors, s'enroule comme un lombric endormi et lové dans une motte de terre sèche...