Ce qui pète le monde, ce sont les compètes, les podiums et le vase sacré ! Et l'on a inventé – du moins certains ont inventé – le “coaching”, le “timing” et les consultants... D'où cette rage, cette fureur, cette prédation à une “excellence au delà de l'excellence” pour être le meilleur, ce meilleur qui ne suffit jamais, ce meilleur qui se tortille comme un ver canibale dans les viandes déchirées...

Les compètes font de l'humain une machine, les podiums font des pantins gesticulants et le vase sacré c'est pour recueillir les oboles jetées par les foules.