Voici l' appel qui devrait être fait par toutes les centrales syndicales à tous les salariés, à toutes les populations de tous les pays du monde, pour une action de grande envergure contre la mise à mort du travail : un appel à une grève générale en France, en Europe, partout dans le monde.

Que la planète tout entière s'arrête de tourner économiquement, que plus rien ne fonctionne, ni usines, ni ateliers, ni bureaux, ni services, ni commerces ni transports... Un jour, deux jours, trois jours... Et le “robinet à fric” s'arrête de couler : plus rien dans le seau des actionnaires!

Je vous invite à prendre connaissance déjà, de ce documentaire diffusé en 3 épisodes sur FR3 :

http://www.francetvod.fr/site-vod/la-mise-a-mort-du-travail/

Les discussions autour de tables de négociations, les actions dispersées, les arrêts de travail de 24h, les responsables syndicaux qui fréquentent plus souvent le palais de l'Elysée que la rue et les lieux de travail... C'est cela qui, directement ou non, contribue aussi à la mort du travail...

Le documentaire en trois épisodes diffusé sur FR3, est la vérité même, la réalité telle qu'elle est : brutale et abjecte.

Seulement 9% des Français ont regardé ce documentaire... Et pourtant... 90% de la population est directement concernée dans son quotidien tel qu'il est vécu, dans la manière d'acheter, de consommer, de se comporter, de communiquer...

Il est certain qu'une grève générale serait préjudiciable à ceux qui “profitent le plus” dans la mesure où plus rien ne fonctionnerait et où toute production cesserait.

Qui achète le plus? Le plus beau, la meilleure qualité? Ce sont les plus riches !

Et qui met, des centaines de millions de fois par jour, d'une manière ou d'une autre, sans même en avoir conscience, et parce que “ça branle cinq minutes”... “Cent balles dans le dada”?

Et que deviendrait, comment vivrait... Un être humain sur sept sur cette planète si les six autres décident de demeurer debout les bras croisés et immobiles, et les yeux plus jamais baissés?

C'est ce “comment vivrait” aux yeux d'un humain sur sept, qui “pose problème”. C'est ce “comment vivrait” qui fait mettre toujours davantage “cent balles dans le dada” par un humain sur sept...

“Cent balles dans le dada” qui vont dans des “dadas” de plus en plus gros!