Dites moi, très sincèrement, sans contrefaçon et du plus profond de votre pensée vraie...

Est-ce qu'une reconnaissance “tout court” vous convient, ou bien préférez vous une reconnaissance “réactive”?

J'ai constaté que, le plus souvent, cette reconnaissance (qui est déjà tout au moins “de base” lorsqu'elle existe – et elle n'existe pas forcément-)... Se révèle d'une souveraine inutilité, d'une désespérante gratuité, sans avenir... Et qu'à la limite, il vaudrait peut-être mieux “pas de reconnaissance du tout” ou même, une “confrontation démolitive” et agressive (dans l'éventualité d'une réactivité sans reconnaissance).

Si la reconnaissance ne devient jamais réactive, autant pratiquer l'autodérision et définir son oeuvre en fronton de façade par quelque motif qui dérange ou choque...

Dans un certain sens, l'autodérision lorsqu'elle n'est pas feinte, qu'elle vient “du fond de ses tripes”, et qu'elle se met à dévaster les allées des beaux jardins “bien de famille et du monde”... Force à la réactivité.

Il y a à mon sens, à risquer de perdre tout crédit, une détermination à pousser au vent ce que l'on sent, fût-ce ce vent n'être pas celui sous lequel il est commun (et de bonne règle) de se laisser porter...