Je ne fais pas de différence entre les animaux et les êtres humains : je les aime ou je les combats, selon la relation qui s’établit entre eux et moi. Mais, de tous les êtres vivants, ce sont les prédateurs humains qui me font le plus horreur…

Eliminer les prédateurs humains n’est peut-être pas la solution : il en viendrait d’autres, issus de tous les bouillons de culture, même les plus porteurs de germes guérisseurs de maux. Ce qu’il faudrait, c’est l’absence de nourriture pour les prédateurs.

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