Par Jean-Christophe Heckers - http://shadowline.over.blog.com/ - à Ishtar : On m'a refilé une patate chaude que je dois faire circuler. Désolé, mais j'ai décidé que vous feriez partie des victimes... avant de partir en vacances... Le but du jeu est de faire sept révélations sur sa personnalité, ses goûts, sa vie ou autres, puis de refiler la patate encore bouillante à sept autres victimes innocentes.


Ishtar - http://blog.bebook.fr/ishtar/ - répond : Mes victimes seront et je suis désolées pour elles (sourire) :

- Mahaut

- Mary J.Dan

- ExXxO

- Woland

- Antoine

- Detroiter

- Yugcib


Bien sûr que je suis victime, et innocente par-dessus le marché ! J’y vois là l’ouverture d’une brèche dans notre « moi » où la sincérité se veut indispensable. Donc, je prends la patate chaude et je m’y colle.

Merci à Jean-Christophe, merci à Carine…

1. Je suis comme une vague de l’océan qui sait qu’elle y va, mais se demande bien où.

2. Je suis en proie aux doutes permanents pour toutes les étapes de ma vie ainsi que pour tout ce qui peut « sortir » de moi.

3. Je traque et je sollicite, en silence, la plus infime reconnaissance de celle que je suis. Néanmoins, après un nombre respectable d’années de constant dénigrement (parents et mari), la crainte du déni me fait pourtant fuir tant j’ai peur de la sentence. Je sais, c’est un peu paradoxal.

4. Je suis impatiente… Tout de suite ou maintenant ! Au point de balayer derrière moi au profit du devant moi. Cependant, ma hâte est à double tranchant puisque aujourd’hui, je vis comme si j’allais mourir demain. Les pages se tournent, tournent…

5. Je ne juge jamais autrui, mais je jauge sa quintessence.

6. Je suis rancunière et si je ne le montre pas toujours, hélas les blessures ne se ferment jamais et restent tout aussi vivaces que le jour de l’agression.

7. Je suis d’une naïveté déconcertante en accordant le crédit à toutes personnes qui m’approchent et je ne vois jamais les mauvaises intentions que lorsqu’il est trop tard. Comme je ne fais jamais aux autres ce que je ne voudrais pas que l’on me fasse, je suppose que j’ouvre la porte à de multiples offensives. J’en souffre terriblement et pourtant, je sais que je ne changerai jamais. Peut-être suis-je le souffre-douleur idéal à moins, diraient certains, que je ne me complaise dans cet état, ce qui m’étonnerait beaucoup.

Désolée pour mes victimes, elles sont :



Jardinier

Philipum

Tom roberts

Patricia Coelho

Mireille Regnault

Debernet

Mathieu Goux