Miettes de vie

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Mon blogmémo

[Ces beaux jours ! Les souvenirs enchantés qu'ils nous laissent et l'espoir d'en retrouver de semblables, sont nécessaires pour nous donner la force et le courage de supporter les mois de tempête. Mais puisque ni l'été, ni le désir, ne peuvent durer au-delà du terme naturel, il nous faut apprendre à aimer aussi des jours plus gris, les brumes de l'automne et les longs soirs de l'hiver.]

C'est sous l'oeil vigilant de cette petite fille, celle que je ne suis plus, que va se dérouler, au fil des billets, un récit fait de miettes, de bribes, de pans de vie.

Écrire, c'est partager. Une petite phrase profondément logique, presque une lapalissade ! "Se cacher pour écrire" était cependant plus adapté à mon profil hésitant, jusqu'à l'arrivée de notre nouveau millénaire. Il était temps ! J'ai enfin découvert ce merveilleux partage. Comment ai-je donc pu changer aussi radicalement ? Non seulement je ne camoufle plus mes écrits en cours, sous des magazines de mots croisés (là était ma ruse), mais j'ose les faire lire. Alexandrie et ses membres ont largement contribué à cet épanouissement et là est mon refuge. Certes, le doute et mon manque d'assurance persisteront, mais nous vivons ensembles depuis si longtemps...

Fil des billets

mercredi, juin 13 2007

Le syndrome de la page blanche !

L’incapacité à aligner trois mots, l’inspiration gelée, l’esprit en déroute, la hantise du plus jamais… Une bonne dose d’antibiotiques pourrait-elle enrayer cette infection ? Est-elle virale ? Microbienne ? Une pathologie effrayante pour celles et ceux dont l’écriture est un peu le refuge. Nous y sommes tous, plus ou moins, confrontés, mais réagissons-nous identiquement face à cette calamité ? Puis un jour, c’est la déferlante, l’illumination. Clavier, stylo ou crayon échappe à notre contrôle, les phrases surgissent et se bousculent, tel un flux de particules. La guérison se fait soudaine, sans transiter par une période de convalescence, jusqu’à la prochaine contamination et c’est seulement à cet instant, que l’on s’aperçoit que la récidive existe, que la rechute est inéluctable. La médecine est envahie d’une foule de spécialités, quelle est donc celle qui traite cette forme de maladie, ses causes, ses symptômes ? Et s’il suffisait d’avaler la pilule de l’ensoleillement de notre imaginaire !

vendredi, juin 8 2007

À un homme...

Une certaine pudeur, liée à une volonté de non-intrusion dans une vie privée, justifie l’anonymat du destinataire. J’exprime seulement le souhait qu’il se reconnaîtra et surtout qu’il me lira.

J’ai lu, « entendu » une profonde détresse pouvant déboucher vers une autodestruction et j’avoue être restée perplexe devant ce cri et la souffrance qui s’en dégageait. Si ces quelques mots n’ont pas la prétention d’apporter un quelconque soulagement, ils peuvent néanmoins manifester mon désir d’offrir mon aide dans un acte, hélas unique, celui de l’écoute. À ma connaissance, dans ce cas précis, un seul remède consiste à l’allègement des affres de cette calamité : déverser, expulser ce trop plein de tourments par la parole si l’écrit ne suffit pas.

Cher vous, je vous offre mon épaule, mon oreille, mes yeux et toute mon attention. Ne réfléchissez pas, n’hésitez pas, acceptez mon aide, ou une autre, mais ne restez pas seul à ruminer sur votre détresse. En tant que « pseudo » inconnue pour vous, cela devrait, à mon sens, vous aider à évacuer cette torture. Vous avez diverses possibilités pour me contacter et je puis vous assurer de ma plus grande discrétion.



Je suis de tout cœur avec vous.

mercredi, mai 23 2007

Humeur morose

Il est des jours, de ces jours noirs où les catastrophes, petites, moyennes ou grandes, s’enchaînent, quelquefois à un rythme infernal. Et c’est précisément dans ces instants que l’on se dit que notre ange gardien nous a lâchement abandonné. Que faire d’autre sinon pester contre ce mauvais sort traqueur, ce persécuteur débusquant la moindre faille pour s’y engouffrer sans vergogne, mais avec détermination ! Attendre, face à une lutte souvent perdue d’avance ? Certains disent : série noire, jamais deux sans trois, demain est un autre jour, etc. D’autres ajouteraient qu’après avoir touché le fond, nous ne pouvons tomber plus bas alors, réjouissons-nous. Bien maigres consolations que toutes ces balivernes ! Et si l’on y restait, au fond, y a-t-il là de quoi se réjouir ?
Quelqu’un a-t-il déjà eu l’idée, après avoir constaté la désertion de son ange gardien, de téléphoner à Zorro ? Est-il venu sur son fier destrier noir ? Si oui, vous voulez bien me donner son numéro de téléphone ?

dimanche, mai 6 2007

En hommage à Grégory

Une sublime interprétation de Grégory en vidéo.

mardi, mai 1 2007

Lettre à Grégory Lemarchal

Très cher Grégory,

À qui mieux que toi pourrait-on coller l’étiquette d’Étoile Filante ! Ta silhouette d’ange nous est apparue telle une étoile filante, éphémère, fugace, mais aussi scintillante qu’elle. Ton incontestable talent a conquis tous les cœurs et ton sourire radieux restera, à jamais, dans tous les esprits. Une telle âme ne pouvait-elle rester dans le monde des humains ? Les anges t’ont rappelé à eux après t’avoir accordé vingt trois ans de permission. 23 ans ! C’est bien trop court, pour toi, pour tes proches, pour nous… Tu vas tant nous manquer.

J’ai appris ton départ, ce matin, et cette affreuse nouvelle m’a littéralement anéantie. Ta voix, plus douce et plus merveilleuse que jamais, résonne dans ma tête et ce CD fantasmagorique, définitivement gravé, ne disparaîtra jamais. Ton visage rayonnant la joie de vivre, ton regard lumineux, émerveillé et dévorant la vie, je ne l’oublierai pas. Le chagrin que tu nous infliges, contre ta volonté, je ne l’oublierai pas. De toutes mes forces, je souhaite que Cristal existe vraiment. Alors, je t’imagine là-bas, heureux, tu chantes pour eux et je crois t’entendre. Tu n’es pas parti pour le néant puisque notre amour, celui de tes proches, va te porter pour t’envoyer vers le bonheur intense qui règne sur L.A.C. Plus que jamais, j’y crois.

vendredi, mars 30 2007

Événement

Oyé Oyé

jeudi, mars 29 2007

Mon blogmémo

C’est sous l’œil vigilant de cette petite fille, celle que je ne suis plus, que va se dérouler, au fil des billets, un récit fait de miettes, de bribes, de pans de vie. Mary ?

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