Ameuter, rameuter les foules
Par mary-j-dan le mercredi, octobre 10 2007, 11:02 - Mon blogmémo - Lien permanent
Ameuter, rameuter les foules : pour une juste cause, une urgence, une implication ou un communiqué d’intérêt général, une alerte sanitaire, une détresse…
Mais ameuter, rameuter les foules pour son profit personnel, n’impliquant que sa propre satisfaction, est un délit intime. Les techniques employées peuvent être détournées, fourbes, cauteleuses. Elles souillent, défigurent un ego, quoique l’on puisse penser. Un mouvement qui entraîne obligatoirement des méthodes pas toujours très reluisantes, et surtout dévalorisantes pour un amour propre, définitivement entaché. Tel cet enfant qui, à l’école, a obtenu une très bonne note à un exercice, comment peut-il étaler sa fierté s’il a triché ! Comment fait-il pour taire sa conscience en clamant qu’il est le meilleur alors qu’il n’a fait qu’usurper ou voler ? Ne lui serait-il pas plus doux de penser que, s’il n’est pas le meilleur, au moins ce qu’il a fait lui appartient et qu’il aura d’autant plus de mérite en cherchant à s’améliorer par le travail ?
Alors, ameutons, rameutons, sensibilisons les foules pour une juste cause, celle de la sincérité. Refusons le mensonge, affichons la clarté dans nos actes et la justice sera au bout du chemin. Et le sourire, le vrai, pourra s'afficher sans restriction et dans la sérénité, ainsi :
C'était ma petite humeur du jour, ici Mary J’Dan, à vous les studios !
Commentaires
Où est le problème Mary; j'étais furieuse contre Pascal parce qu'il avait enlevé le commentaire de Sweet-Maay qui est celui de ma fille, auquel je tenais particulièrement... tout cela parce que l'adresse IP est la même que celle d'Ishtar.
Oui, j'ai demandé à Pascal de le récupérer sinon j'enlevais tous mes commentaires, dont le vôtre et celui de Jérome.
Non, j'ai aucune honte de ce que j'ai fais et je le recommencerai très certainement.
A vous le studio !
Carine, c'est quoi cette colère ? Je n'ai rien dit qui puisse t'impliquer en quoi que ce soit ! Je ne connais pas Sweet-Maay et le problème que tu invoques, Pascal ne m'a rien dit et c'est normal puisque, n'étant pas au courant, je n'ai rien demandé et puis, il est probable que cela ne me regarde pas. Pourquoi voulais-tu enlever les commentaires de Jérôme et le mien ? Avons-nous fait quelque chose qui t'as blessé ? J'avoue m'inquiéter pour ta réaction qui est hors des propos de mon billet.
Voyons Mary; cela serait la première fois que Pascal prend une initiative sent que le comité de lecture ne soit au courant et ne donne son accord.
Il était dans ce cas, tout-à-fait logique que cela soit les commentaires à vos ouvrages et à ceux de Jérome qui soient effacés... et vous vous êtes très certainement rendu compte de cela puisque toute modification à un commentaire est alertée via la boîte e-mail de l'auteur.
De plus, en lisant entre les lignes votre commentaire ci-dessus; il y avait beaucoup de chance que cela me concerne. Je me trompe Mary ?
Houlà !
Chère Mary,
L'instit. que je suis m'apprêtais à te dire : bien vu.
Hier fut une journée faste pour nous à l'école : 5 d'entre nous furent agressés verbalement par des parents à la sortie des classes et donner raison à un élève menteur, fut-ce son enfant, est toujours une mauvaise politique pour l'éducation...
Et voilà que je vois le message de Carine...
Je ne comprends plus. Que se passe-t-il ?
Bisatous
Marianne
Oui Carine, erreur sur toute la ligne ! Lorsque Pascal prend des initiatives certes, il nous en informe, mais il ne donne pas ses raisons.Je n'ai reçu aucun avis de modification de commentaire donc, c'est qu'il n'y en a pas eu. J'ai beau lire entre les lignes de mon billet, je ne vois toujours aucun rapport avec cette accusation qui d'ailleurs, consiste réellement en quoi ? Je ne voudrais pas me disputer avec toi, mais s'il le faut vraiment, au moins que je sache pourquoi.
Il est certain, que j'étais particulièrement furieuse hier soir de l'initiative de Pascal et lorsque j'ai lu votre commentaire, j'étais persuadée que cela me concernait...
Voilà la raison de mon agressivité à votre encontre Mary...
Alors Carine, on oublie. Pas d'animosité entre nous, tout va bien.