Je déteste ces gens vertueux, rigides, “à cheval sur ceci/cela”, qui critiquent tout ce qui leur déplaît tant soit peu, ou tout ce qui ne semble pas convenir à leurs “normes”, qui s'en réfèrent à leurs “modèles” (de comportement, de pensée, de morale, de bienséance...) et qui sont “accueillants comme des portes de prison” (en général)... Qui trouvent “normal” que “ceci/cela” soit interdit parce que “dangereux”, “immoral”, et qui veulent que soient toujours appliquées des règles sévères, des punitions, des “verrous de sécurité”... Tous ces gens aussi, “d'une certaine culture et éducation” et “d'un esprit caustique, critique dans les moindres détails”, qui n'arrêtent pas d' infirmer, de “relativiser”, de “montrer le mauvais côté des choses”, et finalement de te faire comprendre que t'es un “minus”, que “tu ne fais pas le poids”... Que tu devrais te “réviser” ou emprunter une autre voie...

Ces gens là “m'emmerdent'” souverainement et en général, j'ai plutôt envie de leur “rentrer dans le lard”... D'ailleurs, avec eux, j'ai un “réel problème de communication”! La seule manière (la plus efficace à mon sens) de m'en sortir “sans casse effroyable”, c'est d'opposer un mur de silence et de repli, un mur totalement bétonné d' “introvertisme” derrière lequel je vais “serrer mes trésors” et mes émotions les plus profondes afin de ne pas les exposer aux “foudres imbéciles, intelligentes et méchantes, ou cruelles d'arrogance et de suffisance”...

     J'adore les gens “gentils”, accueillants, compréhensifs, “pas à cheval sur “ceci/cela”, qui t'accueillent, te “pardonnent certaines choses”, avec lesquels tu “ne te frites jamais/jamais”, et de la part desquels s'ils te font comprendre à leur manière “que tu fais un peu le con”, ça “va passer”...

D'ailleurs avec ces gens là je n'ai jamais de problème de communication, et je dois dire qu'à leur égard, je vais plutôt me montrer (au départ) “assez discret”, “peu envahissant”, “peu profiteur”, le plus délicat possible, “pas rapia pour 2 sous” tellement ils m'émeuvent, tellement je les remercie de leur gentillesse, tellement à aucun prix je ne voudrais profiter de cette gentillesse...

Avec le temps, cependant, en compagnie de ces gens là, il va forcément venir un jour où je vais me “sentir si bien et si heureux” que je vais “presque tout sortir” et me détendre vraiment...