Je déteste le genre « soft » c’est-à-dire « faux chic », « fausse classe », « très intellectuel dans le sens du monde », très consensuel, tout sourire et regard compassé, tout « visage caramélisé », le tout accompagné de fioritures… Tout cela c’est ce que j’appelle  en « bon jargon Yugcibien » : « l’olive dans le trou de bale »… ça fait peut-être du bien par où ça passe mais après les chatouilles et une bandaison de première… Bonjour les douleurs abdominales et le sang qui suinte du fondement!
    J’adore par contre, le « vrai chic », la « vraie classe » avec un visage sans caramel de pomme d’api ; très/très dans le sens du cœur et de l’esprit… Et dans ce chic là, dans cette classe là, je m’y jette comme un coureur de routes qui depuis de longues années n’a point serré une femme dans ses bras et porte encore sur lui les odeurs, les couleurs, la trace des visages de la route qu’il vient de parcourir…