Le Blog du Merdier - Auteurs et Livres fictifs - CommentairesCe "Grand Merdier" n'est peut-être pas le tas de caca que l'on pourrait croire... Sauf pour les aficionados du Sens du Monde, inféodés aux modes et aux tendances. Ce "Grand Merdier" c'est tout simplement "une autre écriture, un autre langage"...2023-06-25T05:49:59+02:00Guy Sembicurn:md5:5391986f03f141d79f5f619ed1405128DotclearLe jeune pompier de Los Angelès, suite et fin - Oskarr NAJHurn:md5:2bc29601d0507e905a59a2db085fd6312008-11-21T09:06:26+01:002008-11-21T09:06:26+01:00Oskarr NAJH<p>Je chie, de ma plus verte diarrhée, sur tous les Nike CREWTYN de cette planète.<br />
Mépriser les gens "importants et fortunés", c'est l'évidence même, c'est la première leçon d'hygiène quand on prétend traverser le monde que des rats mous d'la trempe de Nike nous ont concocté - ou plutôt, qu'ils ont laissé s'installer, parce qu'ils n'ont même pas le talent du mépris nécessaire pour imaginer cette organisation à la mord moi l'tube. Les "importants et fortunés", on devrait toujours les mépriser, rien qu'pour la forme, on d'vrait les bastonner exactement comme on file la pièce au clodo d'en bas d'la rue. Pour s'nettoyer un peu la cuvette d'la conscience. La loi d'la jungle qui lui plait tant, c'est aussi le lion malade qui s'fait déchiqueter l'anus par les hyènes, c'est la volonté de quelques-uns qui s'laissent pas succomber à l'apathie nerveuse/merdique, et qui refusent de voir la loi d'la vermine associée s'installer partout.</p>
<p>Et puis ces éternels accusations au nazisme dés qu'on veut cramer un livre, c'est à gerber. Se dépêcher de traiter l'autre de Nazi pour mieux s'cacher la moustache-la-mèche-le-short-kaki-mein-fürher. Si les livres devaient pas cramer, on les imprimerais pas sur du papier. C'est sain, bordel, c'est bon d'avoir encore d'l'esprit critique et un peu de hargne. Le livre n'est sacré que chez les attardés idolâtres.</p>
<p>Non, l'existence des "prédateurs" mous n'a rien d'nécessaire. Et supporter les justifications merdeuses des quelques krevards qui leurs lèchent le chibre et les respectent, qui viennent les défendre avec toute leur condescendance et leur putain d'dictionnaire des lieu-communs sous l'bras - n'est pas plus nécessaire.</p>
<p>En littérature, on est tous des va-nu-cul. Les écrivains habillés, ceux qu'ont de quoi s'payer un costard, ne sont que les putes fiêvreuses de "l'industrie du livre". Qu'ils se paient une tombe pour que les pleureuses de bibliothéque aillent se gargariser au cimetierre.</p>