Texte tiré de "Petits Contes Yugcibiens", durée d'écoute trois minutes.
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samedi, janvier 14 2012
Par yugcib le samedi, janvier 14 2012, 14:34
Texte tiré de "Petits Contes Yugcibiens", durée d'écoute trois minutes.
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mardi, janvier 10 2012
Par yugcib le mardi, janvier 10 2012, 09:42
Ce texte à écouter est tiré de mon livre "Petits Contes Yugcibiens".
Clic sur le lien, puis clic sur le titre du texte et choix "ouvrir" ou "enregistrer" et le fichier audio apparaît ...
Environ 15 minutes d'écoute.
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samedi, décembre 31 2011
Par yugcib le samedi, décembre 31 2011, 08:43
http://www.lulu.com/product/paperback/grand-h%C3%B4tel-du-merdier/723714
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http://www.lulu.com/product/couverture-souple/le-bateau-pirate-livre-1/18799729
http://www.lulu.com/product/couverture-souple/le-chien-vert/18779137
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vendredi, décembre 9 2011
Par yugcib le vendredi, décembre 9 2011, 21:00
À Poyanne, une localité proche de Tartas, de Mugron et de Monfort en Chalosse dans les Landes, la Poste "PéTéTique" de jadis est devenue un "mini supermarché" ouvert le soir jusqu'à 21 h comme les épiceries Arabes des grandes villes... Mais ici, l'on n'y fait absolument plus la moindre opération postale... Et l'établissement "PéTéTique" devenu supermarché fait en même temps office de bistrot et de "fast food"...
La distribution postale se fait par dépôt du courrier dans des boîtes aux lettres regroupées en blocs situés en bordure des lotissements à l'entrée de l'accès principal... Et ainsi les facteurs -et les "fofacteurs"- n'ont plus à affronter les "toutous féroces" qui montent la garde autour des maisons...
Dans toutes les communes de Chalosse désormais urbanisées, apparaissent des lotissements de maisons construites pour la plupart en trois jours tout compris et entourées de parcelles de terrain de 700 mètres carrés...
À noter que jadis, la population de ces villages était moins importante qu'elle ne l'est aujourd'hui du fait de l'implantation de tous ces nouveaux lotissements... Et qu'il n'y avait pas de "fofacteurs" (de sociétés de messagerie privées concurrentes de la Poste)... ressemblant à des extraterrestres entièrement casqués et se déplaçant sur des scooters au carénage de vaisseau spatial pirate...
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mercredi, février 17 2010
Par yugcib le mercredi, février 17 2010, 09:23
C'est la vue que j'avais depuis la “loggia” au 9 ème étage du bâtiment R cité Montpensier à Blida... En 1961. Tout en bas sont les autres HLM à quatre étages et à coursives, avec l'escalier extérieur. Un peu plus loin, la cité (une sorte de village) des familles de militaires avec de petites maisons entourées de jardins. Puis la ville au pied de la montagne (l'Atlas Tellien)... À l'époque (en 1961) Blida n'avait que 70 000 habitants... J'habitais donc avec mes parents dans le bâtiment R au dernier étage, un appartement de 3 pièces (le numéro 57). Derrière, côté Blida et l'Atlas, la loggia. Et devant, la coursive (balcon commun aux 6 appartements de l'étage) donnant sur la plaine de la Mitidja, et au loin les collines du sahel et les hauteurs d'Alger (située à 52 km)... Dans les collines du Sahel sur la gauche par rapport à Alger, vers la plage de Zéralda, l'on apercevait une petite “échancrure” en forme de triangle avec le bleu de la Méditerranée... Et plus à gauche encore, les Monts de Cherchell... En décembre au moment du solstice d'hiver, depuis la loggia je voyais le soleil se coucher (à ma droite) et se lever (à ma gauche)... Mais au solstice d'été, il fallait se rendre sur la coursive, devant, pour voir se lever et se coucher le soleil... L'hiver, il y avait de la neige sur les hauteurs de l'Atlas, à Chréa, un village où l'on allait en ballade par une route étroite de 18 km en convoi militaire aller retour passer la journée en famille et avec des amis, le dimanche... En mai 1960 lors d'une semaine de très mauvais temps sur le nord de l'Algérie, il y avait eu de la neige à Chréa, et des martinets venaient mourir sur la coursive de l'immeuble, ou sur la loggia... J'ai vu de la neige à Blida, autour de nos HLM, le 4 janvier 1960 : elle a tenu assez longtemps pour quelques “batailles rangées” et bonhommes de neige... En juin quand depuis plus de trois jours soufflait le sirocco, l'on en avait pour 9 jours... Le ciel était blanc brillant, et la chaleur coupante, et du sable fin comme de la poussière s'inflitrait partout jusque dans le frigo. Le lundi 11 septembre 1961 il y eut un tremblement de terre à 4 heures de l'après midi... La coursive au 9ème étage, “balançait” d'avant en arrière d'environ un mètre, et des cloisons se fissuraient dans l'appartement.
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lundi, février 15 2010
Par yugcib le lundi, février 15 2010, 17:47
Non, ce n'est pas un îlot sur le fleuve Maroni... C'est un bateau échoué qui a rouillé et qui peu à peu, fut recouvert d'une végétation luxuriante... Que restera-t-il de nos autoroutes, de nos tours de béton, de métal et de verre, de nos aéroports et de nos gares, de nos gigantesques complexes de circulation autour de nos grandes villes, de nos grandes surfaces commerciales, de nos voitures et de nos trains à grande vitesse, de nos stades et de nos parcs expos... Au premier millénaire d'une nouvelle civilisation humaine sur une Terre qui n'aura plus la même géographie des océans et des continents ? Déjà, passent au travers du carrelage d'un salon dans une maison abandonnée dont le toit s'est effondré, des arbres ! Et de la terre, ou du sable ou du gravier, et de l'herbe... sur les routes que l'on ne répare plus ! Alors, vous pensez! Des ordinateurs, des disques d'enregistrements, des livres, des puces électroniques et autres petits “réservoirs de savoirs et de créations”... Sur quoi nous liront-ils les êtres ou les dieux de demain ? Dans des poussières de lumière qui émettront du verbe, du son et de l'image ?
... La fin du monde humain ? ... C'est ma mort à coup sûr ! Je ne souhaite pas - et n'envisage pas dans mon esprit - et même je refuse - la fin du monde humain... Le monde humain, même tel que l'on puisse ne pas l'accepter tel qu'il est, c'est le prolongement de ma vie : je meurs mais le monde humain me survit et vit de ce que je n'ai pas vécu, réalise ce que je n'ai pas réalisé... Et il a encore beaucoup à faire... En particulier : "écrire" dans ces poussières de lumière qui porteront du verbe, du son et de l'image et seront "lues" par les êtres ou les dieux en lointaine descendance directe... ou par les êtres ou les dieux qui ne sont pas encore venus...
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vendredi, février 12 2010
Par yugcib le vendredi, février 12 2010, 16:15
Ailleurs que sur la Terre, la Féminité serait encore la Féminité...
Mais nous les Humains, ne savons pas reconnaître sur notre Terre, la féminité de la fourmi, la féminité de l'escargot, la féminité de l'araignée, la féminité du crapaud... Il est vrai que l'escargot est hermaphrodite, et que l'on ne dit pas “une crapaude”... Et que mon dessin qui serait une féminité d'ailleurs, est bien un dessin typiquement humain... dans la mesure où l'humain se ferait une idée de la Féminité non humaine sur sa planète d'origine et projeterait ensuite son idée en imaginant une Féminité ailleurs...
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Par yugcib le vendredi, février 12 2010, 16:10
Téterre...
Téterre, je te vois petit oiseau dans le grand ciel de l'univers...
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Par yugcib le vendredi, février 12 2010, 16:05
Si au moins dans notre beau pays de France, il en était ainsi de nos cimetières, tel ce jardin des âmes d'un village Norvégien, alors opterais-je à ma mort, pour une pierre fichée en terre comme une météorite venue du ciel...
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Par yugcib le vendredi, février 12 2010, 15:54
Rien à voir avec le “Métro-Jet” qui, dans mon livre “Au pays des guignols gris”, traverse le “Grand Continent”...
Sans doute ce jour d'été à Canfranc, assis devant ce wagon d'un autre âge, imaginais-je Ernest Hemingway prenant place sur un siège de bois, une bouteille de whisky à la main... Tous les trains du monde, depuis que les trains existent, ont quelque part assise, une femme dans un ailleurs... Une femme dont le visage et les jambes croisées, avec le paysage qui défile par la vitre, entre en visite et fait trace dans une histoire d'homme... Mais nos trains n'ont plus aujourd'hui, de compartiments.
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