La chaisière du Luxembourg de Jean-Luc Flines
Par mary-j-dan le samedi, janvier 12 2008, 15:52 - Littérature Alexandrine - Lien permanent
Jean-Luc Flines est un auteur dont l'inspiration est à la fois classique et surréaliste, à la frontière de l'absurde. Il écrit également des nouvelles et des romans. L'écriture est une de ses raisons de vivre et son imagination, l'âme de ses histoires. J-L Flines écrit notamment des textes sur le thème du fantastique, des chroniques imaginaires à propos de l'Amérique des années 1910-1960 et des récits dans lesquels l'art occupe une place essentielle. Il est également aquarelliste et illustre régulièrement ses propres textes. Enseignant de formation, il s'occupe d'un atelier d'écriture théâtrale pour des jeunes âgés de 10 à 12 ans. Il a régulièrement participé à des stages de mise en scène et d'acteur au sein du Théâtre National de la Communauté Française de Belgique avec notamment Bernard De Coster et l'auteur Bernard da Costa pour l'écriture dramatique. Il réalise régulièrement des films de courts-métrages pour présenter ses oeuvres picturales. Ses aquarelles ont été exposées à Bruxelles, Charleroi, Paris, Marseille, Nîmes, Arles, Avignon,Sion, Francfort, Tokyo. ..
Le résumé :
Paris ! Recomposer son visage éternel au travers de personnages insolites ; des rencontres promenades avec l’étrange. On croit qu’on rêvasse le long d’un trottoir, au bord de la Seine, au milieu d’un parc de verdure et on se souvient !... On se souvient qu’au jardin du Luxembourg, le Sang du Poète était bien vivant le temps de croiser Madame Édith, la môme-chaisière !?...
Dans le jardin du Luxembourg, cette nouvelle évoque la flânerie, si propice dans certains lieux à nous transporter vers l’imaginaire, l’irréel. Le pouvoir mystérieux de ces jardins nous emporte quelquefois dans des rêveries où l’impossible n’existe pas, où tous les scénarios sont permis. C’est aussi une manière de faire revivre le passé, en mettant en scène des êtres disparus ou des évènements d’un autre temps. J’aimais tout particulièrement me laisser envahir par ces chimères et j’aimais beaucoup moins le retour à la réalité Mon lieu de prédilection était le parc Monceau, et mes fantômes rôdent toujours là-bas.
À partir d’un simple fait anodin, Jean-Luc Flines nous fait partager un bien joli moment de lecture.
La fin est tout simplement magnifique, mais, chers lecteurs, ne commencez pas par la fin. Vous vous priveriez du charme de cette histoire.
L'auteur vous offre ce moment de plaisir. Cliquez sur l'image puis sur : (télécharger)