la_chaisiere_du_luxembourg.pngLe résumé :

Paris ! Recomposer son visage éternel au travers de personnages insolites ; des rencontres promenades avec l’étrange. On croit qu’on rêvasse le long d’un trottoir, au bord de la Seine, au milieu d’un parc de verdure et on se souvient !... On se souvient qu’au jardin du Luxembourg, le Sang du Poète était bien vivant le temps de croiser Madame Édith, la môme-chaisière !?...

Dans le jardin du Luxembourg, cette nouvelle évoque la flânerie, si propice dans certains lieux à nous transporter vers l’imaginaire, l’irréel. Le pouvoir mystérieux de ces jardins nous emporte quelquefois dans des rêveries où l’impossible n’existe pas, où tous les scénarios sont permis. C’est aussi une manière de faire revivre le passé, en mettant en scène des êtres disparus ou des évènements d’un autre temps. J’aimais tout particulièrement me laisser envahir par ces chimères et j’aimais beaucoup moins le retour à la réalité :-) Mon lieu de prédilection était le parc Monceau, et mes fantômes rôdent toujours là-bas.

À partir d’un simple fait anodin, Jean-Luc Flines nous fait partager un bien joli moment de lecture.

La fin est tout simplement magnifique, mais, chers lecteurs, ne commencez pas par la fin. Vous vous priveriez du charme de cette histoire.

L'auteur vous offre ce moment de plaisir. Cliquez sur l'image puis sur : (télécharger)