Le Bloghéro de Mahaut - Tag - Pierric MaelstafMi-"Art de vivre instrumental" à montée intense, mi- "épopée héroïque", la Vie est un éternel recommencement qui connaît une progression par "à coup". Voici un petit bout de Boléro héroïque à la mode Mahaut.2024-02-20T02:58:20+01:00Marianne Vivegnisurn:md5:0704021216cb66374171f44a06f374f9DotclearLes Rencontres de la critique et de la culture - Débat critique :urn:md5:cdc6930cfb772a8c7435c81fcb94f9332008-02-06T00:50:00+01:002008-02-06T14:34:49+01:00MahautRencontres de la critique et de la cultureAriane Dreyfuscritique et cultureKarim FeddalPhilippe BoisnardPierric MaelstafRégine Detambel<h2>Les Représentations du corps dans les arts<br /></h2>
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<p>''Ce débat a eu lieu dans le cadre des rencontres de la <a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/critique%20et%20culture">critique et de la culture</a> organisé par <a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/Pierric%20Maelstaf">Pierric Maelstaf</a> et l'association ça & là<br />
Le début des échanges, hélas, est resté dans nos mémoires. Il est le fait de <a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/R%C3%A9gine%20Detambel">Régine Detambel</a> <em>(qui a dû nous quitter au sortir de cette rencontre)</em>, <a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/Karim%20Feddal">Karim Feddal</a>, <a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/Philippe%20Boisnard">Philippe Boisnard</a> et <a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/Ariane%20Dreyfus">Ariane Dreyfus</a>. Et toute la suite du débat est né de cette citation, d'Ariane Dreyfus :'' <br />
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<blockquote><p>L'adulte heureux est un enfant qui a vaincu ses peurs<br /></p></blockquote>
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<p>Tout part de l'enfant. La poésie, c'est la candeur, et qui ne sort pas de l'enfance, ne sort pas de ses peurs et ne peut pas démarrer son histoire.<br /></p>
<p><em>Philippe Boisnard</em> : Non, il n'est pas possible de poser comme postulat absolu que l'adulte tranquille est un enfant qui sort de ses peurs.</p> <p>Cela condamnerait tous ceux qui ne peuvent sortir de leurs traumas d'enfance ou de leur handicap quand celui-ci perdure dans l'âge adulte. Or, ce qui est vrai pour les uns, ne l'est pas forcément pour tous, et l'expérience de la difficulté de vivre son corps lourd, les impossibilités que ce dernier porte, ses handicaps, fait naître d'autres mots et une autre forme d'expérience. Et la beauté de la langue poétique naît alors de la multiplicité des affects. Alors, s'il y a transmission, c'est qu'il y a connivence entre le corps et les mots ainsi qu'entre les mots et le corps... De plus, on peut devenir l'intrus de nos propres mots (maux), avoir un regard de l'autre qui se dit : « Il est comme cela !? Bon. On le sait bien, on le connaît, on fait avec ! » et rejette alors la parole que nous avons, ou à l'inverse la fait intégrer par amitié et hors de propos.<br /></p>
<p>Et les mots font naître au milieu des maux comment nous nous greffons dans la vie.<br />
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<p>☼ <em>Suit une présentation de Philippe Boisnard, artiste numérique, en mission sur la Côte d'Opale et effectuant la critique au jour le jour de « 2008, boulevard Sainte-Beuve ».</em><br />
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<p>Contrairement à ce que l'on croit, le numérique n'est pas forcément du virtuel, n'est pas forcément désincarné. Il permet de véritables contacts et a des implications sensibles.<br />
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<p><em>Régine Detambel</em> : Edouardo Kač a séquencé le génome d'une bactérie, l'a codé en morse en se basant sur les quatre protéines composant l'hélice de son ADN. Il a ensuite pris un verset de <em>La Bible</em>, l'a également codé en morse et l'a intégré au génotype de la bactérie. Après quelques temps, en séquençant le génome de la bactérie greffée et le recodant en morse, il s'est rendu compte qu'elle avait récrit le verset de<em> La Bible</em>. La bactérie a publié le poème que sa double hélice lui avait donné. <em>(En aparté : quelles sont les conséquences biologiques d'une telle création ? les bactéries ne sont pas des organismes à changer avec une telle désinvolture.)</em><br /></p>
<p>Dans le même ordre d'idée se place le « Body Art » voire le « Surgeon Art », art chirurgical...<br /></p>
<p>Mais en cela, est-on réellement en train de fabriquer un nouveau rapport au corps ? Quand on fait de la littérature, on historicise, on <em>crapahute</em> dans la réalité, mais en recréant les choses avec le recul et la façon de l'incorporer. Mais dans la vie, on a tellement la<em> tête dans le guidon</em> qu'on n'a pas se recul-là et on catégorise sur l'événement.<em></em><br /></p>
<p><em>Philippe Boisnard et Régine Detambel, en dialogue</em> : Alors que propose-t-on vraiment aujourd'hui comme image du corps ? On imagine que tout évolue vers la souffrance. On sait aussi qu'on va à grand pas vers l'ère du Cyborg, du robot. Mais tout est multiple. On ne peut pas parler de façon univoque de ces phénomènes. Certains de nous en sont à un rapport au corps qui n'a pas changé depuis deux mille ans. D'autres sont issus d'une culture de la liberté du corps qui se dévoile et d'autres, parfois les mêmes, sont conscient de l'inhérent du langage par rapport à la façon d'habiter son corps. <br /></p>
<p><em>Régine Detambel</em> : En littérature, les représentations du corps sont très retardataires. La lisibilité du corps commence à peine à exister. Rares sont, par exemple, les récits qui évoquent de façon explicite la sexualité des personnes âgées, et quand certains auteurs l'abordent, elle est édulcorée ou méprisée.<br /></p>
<p>Oui, mais n'est-ce pas à cause de notre enracinement dans la culture occidentale où notre corps est méprisé ?<br /></p>
<p><em>Régine Detambel</em> : Peu d'auteurs sont capables de sortir de leur culture maternelle pour entrer complètement dans une autre culture (comme Le Clésio) ou dans une autre langue comme (Baron-Supervielle). Cette expérience fait changer du tout au tout la façon d'incorporer les choses. On devient une autre personne. <br /></p>
<p><em>Dans l'assemblée</em> : Oui, mais des auteurs sont capables de nous balancer un corps qui pue, qui chie, qui pète, qui dégouline de sang, qui se décompose jusqu'à la nausée et dont la puanteur nous arrive en pleine face.<br /></p>
<p><em>Philippe Boisnard</em> : Il y a aussi de très beaux textes – <em>Brèves Histoires De Ma Mère</em> de Bernard Desportes ou <em>Grand-mère Quéquette</em> de Christian Prigent, par exemple – où le corps de la vieillesse a le droit d'exister, d'être sensuel et beau à contempler. On commence à traiter des sujets comme la sexualité des âgés ou l'hermaphrodisme de façon très belle. Or ces textes, publiés dans de petites maisons d'édition, bien connus de certains cercles, sont totalement inconnus dans d'autres cercles. Les cercles littéraires ne s'interpénètrent pas. La culture n'est pas poreuse, chacun se cantonne à son univers restreint et on s'ignore les uns les autres.<br />
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<p><em>Ariane Dreyfus et Régine Detambel</em> : Comment faire pour que le corps de l'autre ne soit jamais un objet. Surtout dés que la vieillesse arrive, on chosifie ce corps. C'est un corps que l'on soigne, qu'on lave, qu'on habille. Ce n'est plus une personne. Et dans les maisons de retraites, les personnes âgées ne sont plus touchées, sauf par des gants en latex. Elles sont alors sevrées de caresses, de tendresse...<br /></p>
<p><em>Marianne Vivegnis</em> : Et certains solitaires, célibataires, vivent la même chose : même sociables, ils vivent en relation, parfois proche, avec des amis, mais sans ce rapport charnel de la tendresse. Ils ne sont plus pris dans les bras.<br /><br /></p>
<p><em>Régine Detambel</em> : Retour sur le film de Cronenberg. Le héros dissocie son existence de ses propres violences. Il ne se voit pas violent alors que la violence est bien là, tangible. <br /></p>
<p><em>Régine Detambel</em> : Corps dédoublé, mythe de Don Juan à la limite de la schizophrénie. Et on a tous dans notre « disque dur » la conscience d'Auschwitz. Mais d'où vient cette violence ? <br />
Est-t-elle inhérente à l'âme humaine ? Et faire vivre des histoires où on sépare en soi le bon et le mauvais alors que chacun porte les deux, mais projette le bon à l'extérieur, dans ce qu'il montre de lui et garde le mauvais en lui, le connaît, l'apprivoise, mais l'enfouit : on fait ce que l'on peut.<br /></p>
<p><em>Pierric Maelstaf</em> : Séparons-nous, en nous, ces deux visages de nous ? Et comment rendre compte de cela dans l'art ou dans la littérature ?<br /></p>
<p><em>Régine Detambel</em> : Récit de cette colère de Pascal Quignard, lui qui ne sort jamais, défendant la souillure par de l'huile de vidange des livres exposés dans cette Abbaye désaffectée de La Grasse où un groupe de gens, qui voulaient défendre ce lieu sanctifié (sic) qu'est une abbaye, fut-elle désaffectée, de la souillure de ces corps exposés en littérature. (Souillure pour souillure ?)<br /><br /></p>
<p>''Suit un questionnement sur les oeuvres dont le vernissage suit notre rencontre, mais le temps de ce vernissage arrive et nous devons céder la place. Et puisqu'il nous faut partir, nous avons visionné le travail de Philippe Boisnard entre captation et interaction numérique instantanée.</p>
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<p>''</p>http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/post/2008/02/07/Les-rencontres-de-la-critique-et-de-la-culture-Debat-critique-%3A#comment-formhttp://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/feed/atom/comments/2248Les Rencontres de la critique et de la culture 2008urn:md5:12e70341f7fb6cca9739bbc69b10ab0f2008-01-30T13:31:00+01:002008-02-06T14:34:49+01:00MahautRencontres de la critique et de la cultureFrançois BégaudeauPierric MaelstafRencontres de la critique et de la culture<p>Ce week-end, se tiendront pour la deuxième année les <em><a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/Rencontres%20de%20la%20critique%20et%20de%20la%20culture">Rencontres de la critique et de la culture</a></em> autour de Sainte-Beuve.<br />
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<a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/public/Boulevard_Sainte_beuve_rencontres_2008.png"><img src="http://blog.bebook.fr/mahaut/public/./.Boulevard_Sainte_beuve_rencontres_2008_m.jpg" alt="Les Rencontres de la critique et de la culture 2008" /></a><br /></p>
<p>L'an dernier déjà, <a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/Pierric%20Maelstaf">Pierric Maelstaf</a> et l'association du Boulevard Sainte-Beuve m'avaient ravie et enthousiasmée par la pertinence et la qualité des rencontres et des débats<br /></p>
<p>Et pour la deuxième fois, je me réjouis d'y être tant le programme est alléchant...</p> <p>Durant quatre jours, la critique s'invite dans la culture. Multipliant les possibilités et les domaines, plus de quinze occasions sont prévues pour exercer son esprit, son plaisir et sa parole.<br />
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<strong>Jeudi 31 janvier</strong><br />
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<strong>Prix Sainte-Beuve des Collégiens</strong>, bibliothèque des Annonciades, salle Cassar, 14 heures. <br />
Les élèves de 4e et 3e ont été invités à se pencher sur leur esprit critique. <em>Opalivres</em> et la Médiathèque Départementale 62 ont conçu une sélection de 10 livres à partir du thème proposé par çà & là : "Joute boxe : le corps s'engage".<br />
Le goûter littéraire permettra d'entendre les critiques des jeunes enfants - et d'élire le livre préféré.<br />
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<strong>Conférence critique,</strong> Université du Littoral, grande rue, amphi 1, 15 heures.<br />
<strong>Anita Lavernhe-Grosset</strong> (professeur agrégé de Lettres, ULCO) reviendra sur le cas du <em>Contre Sainte-Beuve</em> de Proust.<br />
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<strong>Conférence littéraire</strong>, Université du Littoral, grande rue, amphi 1, 17 heures. <br />
<strong>Régine Detambel</strong> propose une conférence intitulée <em>Le principe du bon voisin : citation, imitation, inspiration.</em><br />
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<strong>Vendredi 1er février</strong><br />
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<strong>Dégustation critique,</strong> Jardins de la Matelote à Terlincthun, 12 heures.<br />
<strong>Tony Lestienne</strong> (La Matelote), <strong>Jean-Luc Malkowiak</strong> (Trésors de vin) et <strong>Philippe Olivier</strong> (maître fromager) s'associent à nouveau pour mettre des Mots sur les mets.<br />
Tony Lestienne a conçu une Verticale de chaud-froid pour confronter le cru et le cuit, les structures aux textures. Il ajoutera çà & là quelques touches de cuisine moléculaire, pour travailler au corps tous les ingrédients. Réservation indispensable et participation de 15 € auprès de l'association çà & là - BP 72 - 62930 WIMEREUX CEDEX<br />
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<strong>Conférence chorégraphique</strong>, Musée San Martin, 113, Grande Rue, 16 heures. <br />
Conférence de <strong>Pascale Rodts-Rougé</strong>, Maître de Conférences (ULCO), pour la Compagnie Poemadanza (Bruxelles). <br />
" Tango Bagarreur" ou "Comment le corps s'engage dans la danse" : un couple de professeurs de Tango Argentin animera corps à corps cette rencontre entre l'Histoire, la Littérature et la Danse, sous l'influence de Jorge Luis Borges (Arg.)<br />
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<strong>Cénacle inaugural</strong>, Hôtel de ville, salle des fêtes, 18 heures. <br />
En 1829, Charles-Augustin Sainte-Beuve publiait <em>Vie, pensées et poésies de Joseph Delorme</em>, un recueil de poésie dont il donna lecture au cours d'un cénacle chez Victor Hugo. Ce dernier était à l'époque l'auteur des <em>Orientales</em> et déjà en train de travailler aux <em>Feuilles d'automne</em> qui paraîtront en 1831. Leurs poétiques s'opposaient. On peut voir là comment le romantisme français se mettait en place, dans une querelle entre les continuateurs de Chénier (Sainte-Beuve) et les rénovateurs (Hugo). Cette hypothèse sera l'objet de cette joute inaugurale.<br />
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<strong>Cinéma critique</strong>, Les Stars, 20h30. Entrée : 3 €. <br />
Pertinent observateur du monde, capable d'en saisir toutes les subtilités contemporaines, <strong>David Cronenberg</strong> est l'un des réalisateurs actuels les plus soucieux des questions du corps. En 2006 sortait en France <em>History of violence</em>, un film qui marquait un renouveau dans sa mise en scène. <br />
Des élèves volontaires du lycée Mariette ont travaillé la question depuis la rentrée pour donner les arguments utiles au diagnostic critique de ce film. Ils nous les livreront après la séance.<br />
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<strong>Samedi 2 février</strong><br />
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<strong>Atelier d'écriture slam</strong> avec <strong>Karim Feddal</strong> - sur réservation.<br />
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<strong><em>çà & là</em> accueille le Prix des Découvreurs</strong>, Les Pipots, 11 heures. <br />
En présence des lauréats, <strong>Ariane Dreyfus</strong> (<em>L'inhabitable</em>, Flammarion) et <strong>Matthieu Gosztola</strong> (<em>Sur la musicalité du vide</em>, L'Atelier de l'agneau). Cette cérémonie sera suivie d'une lecture faite par <strong>Léonie Simaga</strong>, pensionnaire de la Comédie Française, qui dira des lettres de René Char adressées à Albert Camus.<br />
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<strong>Débat critique</strong>, bar <em>Le tôt ou t'art</em> (119, rue Faidherbe), 15 heures. (Un compte-rendu de ce débat sera mis en onde d'ici peut sur ce blog)<br />
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<strong>Création théâtrale : <em>Mille excuses...</em></strong>, Les Pipots, 21 heures. Entrée : 5 €. <br />
<strong>Silènes Cie</strong> a relevé le défi d'une création inhabituelle autour de Franz Kafka. Tout le monde connaît l'adjectif kafkaïen. Hélas, ce terme ne donne de l'oeuvre de l'écrivain qu'une vision partielle. Comment, en effet, comprendre cet univers sans donner au corps la place centrale qu'il tient ?<br />
Pour vérifer si l'hypothèse est pertinente,<strong> Ludovic Longelin</strong> a conçu un spectacle sur la matière même de cette oeuvre, sur ce que Kafka veut dire. <br />
Avec <strong>Thierry Duirat</strong> (danseur) et <strong>Thierry Waziniak</strong> (batteur). Assitante de mise-en-scène : Charlotte Nico.<br />
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<strong>Dimanche 3 février</strong><br />
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<strong>Café littéraire</strong>, Les Pipots, 10h30. <br />
Avec <strong><a href="http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/tag/Fran%C3%A7ois%20B%C3%A9gaudeau">François Bégaudeau</a></strong>, sur son dernier livre : <em>Fin de l'histoire</em> (Verticales). <strong>Cédric Dubuisson</strong>, lecteur critique, lui posera les questions que son oeuvre fait naître chez lui. Et le public aussi.<br />
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<strong>Cercle littéraire</strong>, Salons de la Baie Saint-Jean, 15 heures. <br />
Bien avant le scandale des<em> Fleurs du Mal,</em> Baudelaire avait écrit une nouvelle, <em>La Fanfarlo</em>, qui met à mal tout le romantisme, du moins ses travers dandystes et arrogants, sur cette faille qu'est le corps de l'autre. <br />
Ce texte a été réédité par les Editions du Sagittaire, sous la houlette de <strong>Pierre Laforgue</strong> (maître de conférence à l'Université de Franche-Comté). Ce dernier vient nous voir pour nous en parler.<br />
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<strong>Concert critique - musique à risque</strong>, Les Pipots, 17h30.
Forts de l'expérience des Rencontres 2007, nous réitérons cette alchimie plutôt hasardeuse. <br />
Trois musiciens, qui ne se connaissent pas, vont se retrouver sur scène, en public, pour voir ce que leurs instruments auront à se dire. Ils ne savent pas davantage ce qu'ils vont jouer. Se sortiront-ils de cette situation critique ?<br />
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<h2>Vous trouverez tout, et plus encore à propos de ces rencontres sur <a href="http://www.bdsaintebeuve.fr/">le site</a> qui leur est consacré.</h2>http://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/post/2008/01/30/Les-Rencontres-de-la-critique-et-de-la-culture-2008#comment-formhttp://blog.bebook.fr/mahaut/index.php/feed/atom/comments/2255